Élève indiscipliné, voire contestataire, il fut banni de son école quelques jours après la saint-Éloi. Il était trop fier pour se soumettre, à contre-courant des attentes de l'autorité, mais ne croyez pas pour autant qu'il fut un mauvais gars. Ses luttes, celles d'un jeune révolté, visaient à dépouiller les riches pour secourir les nécessiteux. Génie ardent, il cherchait tous les moyens pour sortir de l'anonymat. Hélas, après une seconde incarcération, on le retrouva pendu. Un verdict d'une cruauté implacable l’avait enfermé dans un sombre cabanon. Aujourd'hui encore, on se souvient de son esprit brillant et de son visage perpétuellement empourpré.